Reportage : The Lost Reportings
A la recherche du bobineau perdu dans le 16ème numéro de Vinyle & Audio !
C’est un label qui fait fantasmer les amateurs les plus pointus, rencontre avec le fondateur de The Lost Recordings.
Fan de Scarlatti et pianiste classique émérite, Fréderic d’Oria-Nicolas a plus d’une corde à son piano. Mélomane passionné avant tout, il est aujourd’hui à la tête de l’un des plus formidables labels indépendants, The Lost Recordings.
Riche d’une quinzaine de références, ce label audiophile permet aux amateurs de découvrir et d’écouter des enregistrements live, inédits et inconnus d’artistes de jazz ou de musique classique. Le quotidien de ce jeune chef d’entreprise globe-trotter ressemble plus à celui d’un archéologue que d’un patron du CAC 40. Aux quatre coins du monde, Fréderic d’Oria-Nicolas exhume des rayonnages poussiéreux de salles de concert ou de stations de radio, des enregistrements sur bande, oubliés de tous, d’artistes légendaires comme Emil Gilels, Oscar Peterson ou Sarah Vaughan.
En quelques années, The Lost Recordings est devenu un label de référence dont les collectionneurs s’arrachent chacun des pressages édités en série très limitée et remastérisés avec un soin sans égal.
Retrouvez la suite du reportage sur The Lost Recordings dans le 16ème numéro de Vinyle & Audio, chez votre marchand de journaux préféré !